– Performance purement technique !

– Place des rencontres au Théâtre Galpon 1er juillet 2024

Padrut, Léon, Anne-Laure, Janju, Juan, Yves, Ben, l’entreprise Loxam Genève, Le théâtre Galpon

 

images, Léon et Anne-Laure

images, Léon et Anne-Laure

images, Léon et Anne-Laure

soudures de sécurité, fotos Léon et Anne-Laure

fotos Léon et Anne-Laure

– Résidence au théâtre Galpon 19 décembre 2023 au 7 janvier 2024

– Répétitions du 6 au 21 février

– Spectacle « LE PROJET D’OKANA » 2024

du 22 février au 3 mars 2024 au théâtre Galpon

 

résidence au théâtre, répétitions et spectacle

par Padrut Tacchella, Cie A HAUTEUR DES YEUX,

avec Padrut Tacchella-concepteur et jeu Okana, Noémi Alberganti-danse, Géraldine Schenkel-piano-bandonéon, Claire Firmann-éclairage, Veronica Segovia-costumes et peau Okana, Clara Brancorsini-aide à la création

 

Intenses préparations pour cette création, aboutissement des premières idées de réalisation dès janvier 2023. Un travail de réalisation en collectif, mais guidé par Clara Brancorsini, des modifications jusqu’au dernier moment pour amener des mouvements qui ne pouvaient pas être prévu que toutes et tous dans l’espace de jeu. La structure de cette création est proche de la mise en scène, son contenu est plus proche de chorégraphie et improvisation. La dizaine de représentations s’est déroulé dans la grande salle du théâtre Galpon avec une jauge d’une 50aine de places sur gradin de cirque (un magnifique objet de Janju, suivant en arc la scène orienté à 45 degrés.

L’idée de base s’appuie sur la construction et le fonctionnement d’une boîte à musique qu’on remonte encore et encore pour jamais s’en lasser. Inspirés aussi par une performance de Trisha Brown (Accumulation), la marionnette exécute selon le même principe une suite de mouvements qu’elle apprend à la danseuse…

Entre danse et jeu d’enfant, échanges de coups d’oeil et constructions de liens multiples, les protagonistes rejettent des règles de jeu, en découvrent des trésors dans les débris, luttent pour comprendre l’incompréhensible, pour apprendre l’une de l’autre de nouvelles façons de s’approcher, utilisant non pas de règles de jeu, mais en entrant dans un espace élevé qui est construit sur le lien fort, commun, inconscient.

Cette étape de travail s’ouvrant sur une approche philosophique autour de nos questions existentielles, notre raison d’être en tant qu’être intelligents … plus que jamais questionnable. Dans un vaste périmètre nous semblons être seuls à ne pas réussir autrement que par (gagner ou) perdre tout ;  il est grand temps de quitter ce gigantesque triangle de Karpman … impossible ?

photo © Padrut T

Veronica Segovia, Padrut Tacchella, Vanille Neumann, Okana photo © Claire Firmann

Noémi Alberganti et Okana photo © Erika Irmler / théâtre Galpon

Samedi et dimanche 4 et 5 novembre 2023

Ateliers portes ouvertes Ville de Genève, OKANA dans l’atelier 419

Mouvements d’Okana, explications aux questions des visiteurs d’atelier sur la recherche…

par Padrut Tacchella

Deux jours de rencontres intéressantes avec des curieux, des amis, ou des gens du quartier qui ne nous connaissent à peine à cause des portes d’entrée du site fermées 24/24. Okana nous regarde, hausse les épaules, semble intriguée par nous, écoute, reste silencieuse. Énigmatique personnage, très présente et en même temps comme inaccessible, son dénominateur commun avec nous se situe dans l’inconscient collectif, le rêve, notre imagination.

photos Guillaume Arlaud atelier 419

Dimanche 25 juin et 2 juillet 2023

“performance berges du Rhône avec masques et texte marcel proust”

performance « Marcel Proust » de Padrut Tacchella/Justine Ruchat pour le Théâtre Galpon (BIG2023)

Deux jours de performances au bord du Rhône (public sur pontons descendant le Rhône)

par Padrut Tacchella, Justine Ruchat et l’aide à la mise en scène par Clara Brancorsini

Ce texte sur une atmosphère d’après-midi brûlant chaud passé par Marcel Proust dans une forêt, en train d’observer les couronnes des arbres, m’a inspiré pendant les préparatifs de BIG2023 tout le long de l’hiver 22/23 où j’ai gravé des linos pour (initialement) faire une exposition sur la thématiques des berges du Rhône.

Justine Ruchat s’est joint au projet, ce qui permettait de compléter l’image poétique du personnage 1 qui hurle le texte à travers un cône porte-voix par le personnage 2 qui est libre à pouvoir faire des mouvements en ce même temps de la performance.

Un magnifique moment « outdoor » du théâtre Galpon, en résonance avec le Rhône et ses qualité de diffusion de sons sur 100m… Le spectateur de BIG23 et d’autres promeneurs ont ainsi pu suivre les trois performances du théâtre Galpon (Marion Baeriswyl, Padrut Tacchella et D.C.P) sur à peu près 500m de descente du Rhône en bateau ponton.

Les performances se terminaient à PORTEOUS, où les spectateurs arrivant en bateau ponton se retrouvant avec les artistes, un repas, d’autres performances-concerts et l’exposition des gravures lino accrochées aux murs et piliers du bâtiment…

photos©Erika Irmler

Dimanche 26 Mars 2023

“Ombres Chinoises d’un astronaute d’Apollo 17”  –

performance « satellite » pour « NOUS VOULONS LA LUNE » de Marion Baeriswyl et D.C.P. / Théâtre Galpon

soirée conférence sur le vol d’Apollo 17 et la photo de la pleine-terre

Performance en 6 x 1 minutes de jeu d’ombres Chinoises

par Padrut Tacchella, Thomas Manceau et Laurent Valdes pour la conférence d’Alexandre Chollier

Cette suite d’images d’un astronaute tapotant péniblement des données reçues de Houston sur son ordinateur de bord, se perdant dans l’espace astral, alunissant sur le nez de Thomas est une approche libre et critique à la thématique du rêve de l’humain de s’approprier l’espace astral à la manière d’une nouvelle conquête coloniale. Une prise d’humour nous envoie alors retour dans les années 1970, avec les télés et radios NORDMENDE, les tapisseries de mémé, les son du KORG… Nous n’avons pas besoin de dépenser les énergies de cette planète pour des rêves qu’une toile en coton et des figurines en carton peuvent nous procurer amplement…

 

fotos © p.tacchella

“recherches_okana22”

OKANA, retour à l’atelier 419

Dès le 22 juillet 2022, Okana a maintenant une résidence permanente à l’atelier 419 au 2, rue du Vélodrome. Ceci permettra de progresser à tous les niveaux techniques, programmer et tester les mouvements enregistrés, modifier les suspensions, préparer les modules pour une tournée future et dans une moindre mesure aussi  tester des gestes artistiques.

 

fotos © p.tacchella

Un premier test « jouer à plusieurs » et « jeu avec des jeunes joueurs » (dès 10 ans) a été fait le 12 août à l’atelier 419 et est très concluant… J’ai toujours été surpris du soin que les enfants mettent en oeuvre pour des techniques exigeantes et pas forcément pensées pour jeunes. De là jusqu’à un spectacle c’est encore loin, mais es-ce une raison de ne pas partager avec eux cette aventure ?

 

“recherches_okana22”

OKANA, résidence artistique et technique au Grand Théâtre de Genève

Du 18 juillet au 22 juillet 2022, Okana a pu être testée sur le proscenium du Grand Théâtre de Genève.

Préparer une tournée nécessite de tester notre jeu vu depuis une grande salle. Le jeu, doit-il être adapté ou peut-il rester fidèle à ce que nous avions joué au Théâtre Galpon ? Comment transporter l’ensemble (marionnette, structure pour la suspendre avec les 2 stage-lifts, jeu d’orgue et installation électro-mécanique, tapis de danse, piano à queue et amplis, éclairage de tournée, outils, costumes,…), comment installer dans un endroit de tournée, combien de temps technique avant de pouvoir jouer ?

J’ai trouvé plein de réponses à nos questions et suis heureux de pouvoir constater que le projet peut être montré sur de grandes scènes tel le Grand-Théâtre, le travail des mouvements fins et la relation danseuse-marionnette-musicienne-joueur restant fort et présent dans un espace volumineux. Techniquement, le projet pourra être envoyé en tournée et cette résidence nous a donné  les bases d’évaluation des besoins techniques et du calcul budgétaire réaliste pour des futures tournée. Il restera l’amélioration de la structure pour gagner du temps de montage en simplifiant ses éléments … et l’aventure continue !  Un grand merci à toutes les personnes du Grand Théâtre qui ont rendu possible cette résidence.

résidence_okana22 au Grand Théâtre de Genève, 21 août 2022, Okana, Noémi Alberganti photo ©p.tacchella

résidence_okana22 au Grand Théâtre de Genève, 21 août 2022, Okana, Noémi Alberganti photo ©p.tacchella

résidence_okana22 au Grand Théâtre de Genève, 21 août 2022, Okana, Noémi Alberganti photo ©p.tacchella

 » et tout à coup, la scène s’ouvre vers notre jeu, montre  quelque chose qui est difficile à décrire … quelque chose que je connaissais bien de la scène du théâtre Galpon, mais que je n’attendais pas du tout retrouver ici : quand une scène semble montrer tel un être son accord profond, elle se détache soudain de tout ce qui n’est pas essentiel. Ce qui se déroule sur ses planches devient alors plus limpide, tout est relié en ce moment intimement à elle, la scène semble se mettre en diapason avec nos mouvements et sons, la scène montre quelque chose de son secret –  un moment émouvant dans le processus de création  » 20220813,pt

 

Performance de 21 heures de Éric Satie

9 et 10 Avril 2022

Théâtre 2.21 à Lausanne

une collaboration musique/mouvements marionnette

ensemble Batida, ensemble Babel et Cie A Hauteur des Yeux

 

l’interlude  dans la recherche_okana21 !

Comment est-ce possible que le projet avec la marionnette de taille humaine Okana est entrecoupé par Pahuljica, la marionnette de 40cm et ceci pour juste une semaine ? C’est simple : le jeu d’orgue, le programme informatique maxmsp,  la motorisation peut être connecté à toutes les marionnettes… Il y aura des adaptations certes, mais le pari de faire cette performance de Satie est trop tentant !

Pahuljica est installée sur les touches d’un piano droit ouvert. Des musiciens de ensemble batida et baBel jouent les 840 boucles des VÉXATIONS d’Éric Satie. Pahuljica est la première auditrice, est là, curieuse, regardant les mains des pianistes, la mécanique du piano ou le public assis dans la douce pénombre de la salle. De l’autre côté du pianiste est assis un tourneur de pages de partition. Mais comme la partition n’est qu’une seule page, il s’agit probablement plutôt du marionnettiste. Plus loin on devine un appareil et des caisses, tel les synthétiseurs des années 1970.

C’est un univers de rêve réel long de 21 heures qui est devant les spectateurs-auditeurs, un rêve qui se crée à fur et mesure et qui s’engage à travers la musique de Satie. Petit à petit la notion du temps se perd, c’est un peu comme regarder un fleuve…

 

théâtre 2.21 à Lausanne, 10 avril 2022, Pahuljica et Jeanne Larrouturou, photo Padrut Tacchella

« La relation, le lien d’intimité entre Pahuljica et la pianiste est intense et leur appartient entièrement, néanmoins on ne se sent jamais exclus, on est invité à s’approcher, à entrer dans leur rêve, car, en quelque sorte, Pahuljica nous représente en première auditrice à laquelle s’adresse la pianiste ». (public)

 » À la dernière heure de la performance, la boucle musicale que jouait la pianiste, était pour moi devenue une invitation à placer Pahuljica dans une première position de base, mais arrivé au dernier geste de ce placement de la marionnette, je m’endormais en une fraction de seconde pour me réveiller 2 secondes plus tard, ayant déplacé la marionnette pendant cette absence d’esprit dans un cambré de dos énorme et moi ayant fait un rêve court et monstrueux avec des images hyper-réalistes. Comme la boucle musicale se remettait à ce moment, je reprenais mon travail pour positionner la marionnette et pour me retrouver à nouveau devant le même phénomène d’endormissement peu après. Cette expérience se répétait au moins 30 ou 40 fois et je me rendais compte qu’il y avait une sorte d’hypnose qui prenait possession de moi ». (Padrut)

« Je n’ai pas le courage de partir en Ukraine, maintenant, d’organiser ou d’amener de l’aide humanitaire, de partir avec les marionnettes et jouer pour les gens qui restent dans leur villes anéanties. Alors cette performance est pour moi une veillée en pensant à des milliers de personnes qui font des veillées de survie dans la peur des bombes, dans la caves de leurs immeubles détruits. » (Padrut)

 

“recherches_okana21” de juillet 2021 à décembre 2021

En été 21 et en décembre les résidences en salle de répétition et en salle de spectacle du théâtre Galpon permettent de travailler dans les dimensions et atmosphères de scène et de présenter au public le 21-22-23 décembre l’ état de cette recherche. Une importante ouverture vers le partage de créer se fait avec Veronica Segovia pour le costume de la danseuse et les ligaments pour la marionnette. Avec la pianiste Géraldine Schenkel se tisse un lien fort renforçant l’univers sons-mouvements-sculpture.

Okana est une marionnette de taille humaine et lourde d’environ 45 kg. Le jeu nécessite plusieurs joueurs, or les difficultés liées à la pandémie me poussent à intégrer la motorisation (fils sur bobines motorisées), une gestion par interface MIDI et une organisation des mouvements par maxmsp et double-joysticks. Le jeu peut se faire sans écran, des mouvements peuvent être enregistrés et rejoués… le lien vers la danseuse qui improvise devient fort, la marionnette gagne en autonomie, le joueur peut travailler depuis le point de vue du spectateur.

théâtre Galpon, Okana et Noémi Alberganti, photo Erika Irmler

Théâtre Galpon, 9 juillet 2021 Okana et Mohana Rapin, photo Padrut Tacchella

Théâtre Galpon, 9 juillet 2021 Okana et Mohana Rapin, photo ©p.tacchella

“recherches_okana21” les débuts au grenier du théâtre Galpon

 

Le projet des « recherches_okana » débute en janvier 2021. Le théâtre Galpon met gracieusement à disposition son grenier pour suspendre jusqu’en juin 2021 Okana et pouvoir travailler les suspensions et le jeu avec Élodie Aubonney qui viendra chaque semaine apprendre à Okana et s’imprimer des gestes de la marionnette. En avril 2021, une première visite au Grand Théâtre avec Okana permet d’évaluer si un futur projet est envisageable. L’évaluation se fait alors ensemble avec Manon Hotte in situ, la décision « oui, cela a du sens, on progresse vers un jeu sur une grande scène » est prise. Élodie ne pourra pas continuer et le relais se fait vers Mohana Rapin, danseuse du ballet du Grand Théâtre. Mohana fera la première résidence au plateau du théâtre Galpon en juillet 2021, ceci avec l’accord du directeur du ballet Philippe Cohen.

Théâtre Galpon, décembre 2020, Okana grenier galpon ©p.tacchella

Théâtre Galpon, décembre 2020, Okana grenier galpon ©p.tacchella

Théâtre Galpon, avril 2021, Okana premiers essais sur avant-scène Grand Théâtre ©p.tacchella

Théâtre Galpon, décembre 2020, Okana et Damien Jeannerat photo ©p.tacchella

« …ce sont ces mêmes marionnettes – ils apparaissent ou restent en hybernation artificielle parfois des années durant. l’univers sonore, le monde irréel formé par l’atmosphère de la scène, des mouvements de la danseuse, des sons, les appellent, ça se mélange avec le vécu de la marionnette, mais le tout s’ouvre seulement dans l’image recréée, rêvée du spectateur » pt

endormie…grenier théâtre Galpon ouverture saison 20/21, photo © Padrut Tacchella

soirée publique inauguration saison 20/21 au théâtre Galpon, le premier regard de « la grande femme », 21 août 2020, photo© Padrut Tacchella

« …C’est un moment magique, une sorte de réunion de sorciers, la soirée de l’ouverture de saison du théâtre Galpon : on peut sentir les énergies de création, le spectacle à ce moment est fragile, une écographie de foetus ; on se trouve en plein dans la cuisine des intentions ; c’est un moment de très grande générosité, un partage magnifique, où on nous donne la possibilité de rêver, ce qui n’est pas encore. Merci au théâtre Galpon d’exister et de rendre possible cette magie .. » pt

« okana », réorganisation orteils et chevilles, Sarry F, août 2020

Lutko- Nathalie – Padrut – Alexandra Bellon de EB en SR du Théâtre Galpon en juin 2020, photo © Vincenzo Bezzola

Pénombre d’un après-midi. Théâtre Galpon. Genève juin 2020. Compagnie AHY, photo © Elisa Murcia Artengo
pénombre d’un après-midi, Cie AHY, en SR du Théâtre Galpon en juin 2020, photo ©DR
Pénombre d’un après-midi. Théâtre Galpon. Genève juin 2020. Compagnie AHY, photo © Elisa Murcia Artengo
Pénombre d’un après-midi. Théâtre Galpon. Genève juin 2020. Compagnie AHY, photo © Elisa Murcia Artengo
Pénombre d’un après-midi. Théâtre Galpon. Genève juin 2020. Compagnie AHY, photo © Elisa Murcia Artengo
pénombre d’un après-midi, Compagnie AHY en SR du Théâtre Galpon en juin 2020, photo © Padrut Tacchella
Lutko – Padrut, AHY-EB, jeu horizontal, au Musée de la Croix Rouge Genève, Janvier 2020, photo © Alba Knobel
Lutko – Padrut, AHY-EB, jeu horizontal, au Musée de la Croix Rouge Genève, Janvier 2020, photo © Alba Knobel
Lutko – Padrut, AHY-EB, jeu horizontal, au Musée de la Croix Rouge Genève, Janvier 2020, photo © Alba Knobel
Lutko – Padrut – Raphaël, AHY-EB, jeu horizontal, au Musée de la Croix Rouge Genève, Janvier 2020, photo © Alba Knobel
danse avec son stellaire live, AHY-EB – avec Melissa Cascarino-H107-Pierre-Dunand – Laurent Valdes, BIG19, juin 2019, photo © DR
E.Satie Lutko, Padrut avec Anne, Sarajevo octobre 2018, photo © Padrut Tacchella
Lutko, performance journée ouverte vélodrome, octobre 2018, photo ©DR
Laïka dans le musée, nouveau poil de mouton, Genève août 2018, photo © Padrut Tacchella
Laïka, mensonges, performances pour le théâtre Galpon août 2018, photo ©DR
BIG 2017 Genève, Lutko pour Véxations/Satie, Viva Sanchez et Padrtut Tacchella, photo ©DR
Lutko pour big2017 Plaine Plainpalais juin 2017, photo ©DR
affiche théâtre Galpon, photo © pt, affiche © Claire Goodyear
l’équipe XD4r, photo © Elisa Murcia Artengo
XD4r en salle de spectacle Théâtre Galpon « Articulation », janvier 2017, photo © pt
XD4r en salle de spectacle Théâtre Galpon « Articulation », janvier 2017, avec Marion Baeriswyl, photo © Elisa Murcia Artengo
XD4r en salle de spectacle Théâtre Galpon « Articulation », janvier 2017, avec Marion Baeriswyl, photo © Elisa Murcia Artengo
XD4r en salle de spectacle Théâtre Galpon « Articulation », janvier 2017, photo ©DR
XD4r en salle de spectacle Théâtre Galpon « Articulation » avec Dominique Humair-Rotaru, janvier 2017 photo © Padrut Tacchella
xd4r en tournée Genève juin 2016, photo ©DR
xd4r en tournée Genève juin 2016, photo ©DR
répétition devant l’atelier du vélodrome Genève, XD4r – Marion Baeriswyl, 2016, photo © Padrut Tacchella
maquette pour tosca, Genève 2013, photo © Padrut Tacchella
traverser la fosse pour Tosca, Grand-Théâtre de Genève, juillet 2013, photo © Elsa Ventura
traverser la fosse pour Tosca, Grand-Théâtre de Genève, juillet 2013, photo © Elsa Ventura
traverser la fosse pour Tosca, Grand-Théâtre de Genève, juillet 2013, photo © Elsa Ventura
traverser la fosse pour Tosca, Grand-Théâtre de Genève, juillet 2013, photo © Elsa Ventura
traverser la fosse pour Tosca, Grand-Théâtre de Genève, juillet ? 2013, photo © Elsa Ventura
au théâtre Galpon, photo ©DR
au théâtre Galpon, Genève, photo ©DR
XD3r, atelier au vélodrome, Genève, photo © Padrut Tacchella
xd2r, hydraulique-mécanique, photo © Padrut Tacchella
la fin de l’ancien Théâtre Galpon, Artamis Genève 2007, photo © Padrut Tacchella
« la petite femme », 1997-1998, Genève, photo © Padrut Tacchella

– Le début des marionnettes et des automates : un hasard.

– Québec, résidence hiver 1992

 

 

modèle 2 cybernétique Québec 1990, bois acier fil coton, photo © Padrut Tacchella

 

sculpture par Padrut Tacchella

Le modèle anatomique no 2 était une recherche et construction autour de l’anatomie humaine. Parcourir  les liens et attaches musculaires, décomposer la colonne vertébrale  et la mettre en relation avec la cage thoraxique, les inclinaisons des vertèbres, les liaisons depuis le sternum jusqu’au périnée. Alors que créer des mouvements avec ce modèle anatomique n’était pas un premier propos recherché, les réflexions théoriques et les réalisations des articulations ont créé la base pour toute la continuité de mon travail « marionnettes à fils et automates ». Pour ce travail je m’appuyais entièrement sur des livres d’anatomie de chirurgie, des planches de radiographie.

Je me rendais vite compte de l’importance de ce travail – un dénominateur commun large entre dessin de figure, rêve, mouvement de marionnette naissant…

 

modèle anatomique 1, Genève ESAV (Ecole supérieure des arts visuelles, aujourd’hui appeléeHEAD) 1984, photo © Padrut Tacchella

 

sculpture de 1984 par Padrut Tacchella

Le modèle anatomique no 1 est probablement un des premiers objets sculpté indiquant l’orientation vers les marionnettes plus tard. À l’époque de la construction, c’était par contre d’abord une étude pour comprendre le jeu des ombres et lumières et l’introduire dans le dessin et la peinture.